Le suaire de Turin. Pour beaucoup, depuis sa datation au carbone 14, l’affaire est classée. En effet, lorsqu’en 1988 un groupe de scientifiques, après analyse d’un morceau du tissu, avançait une datation du XIII-XIVe siècle, l’opinion publique concluait à une supercherie de l’Église catholique. Pourtant, quand on s’intéresse d’un peu plus près à cette étoffe censée représenter le Christ, nombre d’éléments posent des questions troublantes.
Avec le docteur Pierre Mérat, ancien président du C.I.E.L.T. (Centre International d’Études sur le Linceul de Turin).